jeudi 17 octobre 2013

mercredi 16 octobre 2013

Qui ? Police


Hebdomadaire de faits divers publié à la toute fin des années 70 (du moins pour ce qui est de la formule qui nous intéresse ici), Qui ? Police a placardé durant un peu moins de trois ans des titres parmi les plus outranciers et délirants jamais vus en une d'un périodique, dont nous allons rapidement observer les 5 caractéristiques majeures ci-après.
  • #1 : Sexe et violence. La base. Les mamelles du fait divers. Mots-clés : castration, amour libre et sex-parties. Ceinture de chasteté acceptée si présente dans le cadre d'un mystère non-résolu.






  • #2 : Obsession morbide pour la mise en marché du sexe, avec contrainte et/ou violence. On loue, on vend, on prête, on livre : chez Qui ? Police, une bonne transaction, c'est avant tout l'assurance d'une accroche béton.








  • #3 : Ne jamais hésiter à demander à la dialectique de taper une petite série de wheelies debout sur un char de feu. Tournures incompréhensibles, phrases à double ou triple sens, messages cryptiques, propos irrationnels : ce ne sont pas les tricks qui manquent.








  • #4 : Garder le sourire en toutes circonstances. Tout ça n'est pas si grave, après tout.



  • #5 : Savoir rendre hommage à ses pairs. Entre poètes, c'est bien le moins qu'on puisse faire.


lundi 7 octobre 2013

mardi 1 octobre 2013

mardi 17 septembre 2013

It is happening again

C'est désormais septembre un peu partout et la rentrée est maintenant inévitable, y compris pour mon label Satanic Royalty, qui sort sa deuxième référence dans quelques semaines : "Strasbourg/Total", nouveau single de Strasbourg, qui, comme son nom l'indique, est originaire de Bordeaux, et que vous avez peut être vus sur scène ce vendredi lors de la dernière soirée Kongfuzi X J'irai verser du Nuoc-Mam sur tes tripes.
Détails multi-cliquables et clip total DIY réalisé par moi même et ma propre personne ici.

lundi 16 septembre 2013

Faisceau divinatoire des élus de l'ordre universel d'Armaggedon rassemblés en rempart humain pour l'ultime affrontement contre les vagabonds assassins de la constellation du Serpent : Redux

Photo : Cobra par Lorène Lenoir

Pas grand chose à dire qui ne soit dans cette photo de ma collègue Lorène Lenoir. Rayonnement de vibrations-respect ponctué de petits hochements de tête entendus à tous les bandits venus en masse à la grande fête de la haine de ce vendredi 13 septembre : en vérité, je vous le dis, le taux de coolitude était tout à fait insoutenable.
Relance de dix courant novembre ?
Peut-être bien, sahib, peut-être bien.

jeudi 12 septembre 2013

Faisceau divinatoire des élus de l'ordre universel d'Armaggedon rassemblés en rempart humain pour l'ultime affrontement contre les vagabonds assassins de la constellation du Serpent II


Kongfuzi X J'irai verser du Nuoc-Mam sur tes tripes avec Cobra, dDamage, Strasbourg et The Box c'est demain 20h00 précises, tous les détails multi-cliquables sont là, c'est gratuit si tu viens nu sous un Barbour et 700 mygales seront lâchées dans la salle dès l'ouverture (100 d'entre elles auront des tickets-boisson scotchées sur le ventre, gardez l'oeil ouvert !)

In the meantime, tu as la possibilité de gagner quelques places, là tout de suite. Il te suffit pour cela de me donner une des 729 caractéristiques des VRAIS fans de dDamage.

Voici, pour rappel, les 7 premières :

1. Les vrai fans de dDamage sont incapables d'amour
2. Les vrais fans de dDamage ne bronzent pas durant l'été, ils se font recouvrir de panure, puis frire.
3. Les vrais fans de dDamage ne savent pas lire et sont atteints de MST super graves.
4. Les vrais fans de dDamage sont composés à 75% de bière, à 20% de sushi et à 5% de Citroën Xara Picasso.
5. Les vrais fans de dDamage mangent leur beurre sans pain.
6. Les vrais fans de dDamage ont le destin tragique de la petite fille dans le Tombeau Des Lucioles.
7. Les vrais fans de dDamage s'expriment en vomissant du sang tout en parlant de manière tout à fait intelligible.

Merci de m'envoyer vos réponses avant demain midi via le blog ou Facebook (merci de privilégier cette dernière option si vous avez le choix). Les gagnants seront avertis demain avant 14h.
>> It's all over now, baby blue.

mercredi 4 septembre 2013

On repeat


L'autre tube de l'été, celui à côté duquel tout le monde est passé, balancé en plein mois d'août et sans le moindre avertissement par Flying Nun, légendaire label Néo-Zélandais qui n'avait techniquement pas sorti un truc aussi carton depuis l'hyper-infectieux "Buddy" de Snapper (qui date de 1988, même s'il a été réédité et multi-playlisté par Bernard Lenoir en 1992).



Pas grand chose à dire sur Sharpie Crows, nébuleux groupe australien délocalisé à Auckland, si ce n'est que 12 Omeros est son premier véritable album (après Nostalgia Kills, une compilation de singles et EPs divers), qu'il est sorti uniquement en cd fait main (déjà épuisé) et digital (avec en bonus la compilation de faces B Halal Jazz), que les 10 titres du disque balaient l'intégralité du spectre sonore Océanique de la première moitié des années 80 (de Birthday Party à INXS, en passant par les Chills et avec un crochet par le premier Apartments, en gros) et qu'il s'agit très clairement un des 3 ou 4 disques réellement traumatisants de 2013.

Maximum big up à Don Lurie de KFuel pour le tip et tant qu'à rattraper votre retard, vous pouvez enchaîner avec la vidéo, qui est juste là.