Un dernier coucher de soleil sur la Warschauer Straße et déjà de retour à Paris. Enième séjour à Berlin, mais cette fois-ci en mode club-free : pas de Berghain, pas de Watergate, pas de About : Blank ni même de Cookies ou de Kleine Reise (bon, pour être honnête, j'aurais quand même volontiers fait un écart pour tester la Jackson mais la prochaine n'est qu'en septembre - ce qui fait déjà une bonne excuse pour y retourner, cela dit), juste une dizaine de jours de glande intersidérale, d'alcool pur et de tournois de baby-foot dans des squatts avec des punks lesbiennes championnes de bi-cross. De quoi sérieusement alimenter les rubriques de J'irai verser du nuoc-mam sur tes tripes dans les semaines à venir et se rappeler qu'il devient définitivement chaque jour plus urgent de quitter la France.
Surtout d'accord avec la dernière partie de la dernière phrase.
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